Un enseignant affronte une cohorte de rats ayant muté et qui colonisent les rues de Londres.
Des rats plus rusés, des rats qui se reproduisent très vélocement, l’aria peut s’amplifier. Les scènes d’action et horribles s’enchaînent à un rythme frénétique et haletant.
Il y a deux fins : la première est un leurre, poursuivi par des pages épatantes dans un cinéma et un zoo (déjà qu’il y avait eu une acmé de terreur dans le métro). La seconde est une promesse d’un deuxième.
Néanmoins, le style de l’écrivain est excessivement lapidaire même si fort imagé, s’il évite judicieusement les descriptions filandreuses, c’est au point où il omet même les ressentis des personnages.