La chance me prit de lire les essais dans le - presque - meilleur ordre possible : Le Rideau; Les Testaments Trahis; L'art du Roman (lut trop tôt pour moi); Et Une Rencontre.
Ici, le developpement, par rapport au rideau, est bien plus long, un peu plus ciblé sur des idées encore plus précise, sur Kafka, Cerventes, Stravinski, Rabelais, ect. La place de l'artiste, son interprétation et sa postérité (testaments) font réflexions - venant de Kundera, ce n'est pas en éloge.
je le redis, mais par rapport au rideau, il y a la question du qu'est-ce que le roman et le roman européen, qu'elle serais son essence, sont propre, et comment il mut, pour le meilleur, l'exeption, et le pire, la règle.
Cela sonne comme une "vision négative", c'est outre mesure plus complexe et intéressant, surtout en quoi il developpe, comme Proust, une rejet d'une méthode non seulement basé sur l'artiste en tant que personne plutôt que sur l'oeuvre en tant qu'autre sois, mais aussi sur les errances interventionniste au niveau de la transmission de l'oeuvre, de ses traductions, de la place qu'on lui donne, de ses interprétations, enfin : tout ce qui détourne, dénature, dés-oeuvre l'art.
Je, recommande, très très chaudement se livre, pas nécessairement dans l'ordre prescrit plus haut, je pense que l'on peux commence directement par celui la, mais je trouve que le rideau reste un essentiel de la pensée littéraire et artistique, là où les testaments parles plus de l'appréenstion de l'art.