Si j'ai lu le premier tiers de cet énorme pavé d'une seule traite, je dois avouer que la lectures des deux autres tiers s'est avérée beaucoup plus pénible ; j'ai dû m'y reprendre à quatre ou cinq fois pour en venir à bout.
Le premier tiers correspond à la partie la plus connue de l'histoire qui a été maintes fois adaptée à la télévision et au cinéma – dont un diptyque parodique hilarant mettant en scène Les Charlots –, et je comprends pourquoi seule celle-ci a eu les faveurs des réalisateurs, tant le reste du l'histoire est longue et un brin ennuyeuse, disons-le sans ambages.
Un roman dont la réputation est, selon moi, usurpée.