L'actualité sur Lichtenberg

Les dernières actions

Salammbooo

a envie de lire le livre

cnope

a apprécié

une critique

du livre

écrite par

cnope

a envie de lire le livre

DHarthagnan

a attribué 8/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Aragne souriante

a écrit

une critique

sur le livre

et lui a attribué 9/10

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Hans Mosibtos

a attribué 9/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Balbutien

a attribué 9/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Arthur Chopin

a attribué 8/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Aragne souriante

a écrit

une critique

sur le livre

et lui a attribué 10/10

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

PoorYorick

a envie de lire le livre

Aragne souriante

a écrit

une critique

sur le livre

et a envie de le lire

zoom iv

a envie de lire le livre

Marot777

a attribué 9/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Acrasia

a attribué 9/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Latrabilaire

a envie de lire le livre

AhGros

a envie de lire le livre

Seingalt

a attribué 9/10 au livre

Lichtenberg

livre de Georg Christoph Lichtenberg et Jean-François Billeter

Résumé : “Parmi les plus grandes découvertes que la raison humaine ait faites récemment, il y a d'après moi l'art de juger les livres sans les avoir lus.” On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'nfluence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages. On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François­ Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg. Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son œuvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sino­logue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.

Xanadu91

a envie de lire le livre

r2phl

a envie de lire le livre

Zizou

a envie de lire le livre