Alors techniquement j'ai pas calé sur ce livre, je l'ai perdu, mais je pense que mon cerveau l'a un peu fait exprès. Ca se lit facile, les pages se tournent sans trop réfléchir, on peut penser à ce qu'on va manger au soir en même temps, c'est pratique. Quelques belles images sur la liberté féminine (j'ai toujours tendance à m'enthousiasmer pour ce genre de récit, comme si c'était un vrai speech motivationnel, "tu peux tout faire dans la vie Louise, pars élever des chevaux en Argentine, ça claque en plus !!"), mais sinon on enchaîne beaucoup les clichés sur la fâme forte. Le pire étant les relations amoureuses père puis fils qui m'ont assez peu charmées je l'avoue. Je ne saurai jamais comment se poursuit le destin de Liv Maria, mais je crois qu'elle s'en fout un peu aussi de toute façon, elle a surement ouvert une pizzeria à Tokyo, une cordonnerie à Reykjavik pour passer le temps entre deux interventions plomberies sur un chantier naval de Copenhague, et je lui souhaite tout le meilleur pour la suite.