La critique est facile...
... mais l'art est difficile, nous disant Louis-Ferdinand Céline. Ce livre n'y échappe pas : on profite d'une bonne analyse avec un titre qui retient l'oeil, par contre il n'en ressort rien d'autre...
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le 11 avr. 2022
Je viens de finir ce livre dont le synopsis donnait si envie.
Qu'en dire ?
Que je suis mitigé. Ça c'est certain.
Le livre est divisé en trois parties. La première parle de la "paresse managériale", la seconde des bureaucraties intermédiaires et la dernière des exemples de solutions.
Pour être franc, je n'ai pas compris l'essence de la première partie. Soit je ne vis pas cette problématique franco-française soit les mots ne font pas écho chez moi soit ... je n'ai rien compris.
La deuxième partie, par contre, résonne très fortement. Je suis assez orienté processus et solution. Ici, François Dupuy prétend que le flou est meilleur producteur d'efficacité (et de valeur ?) que l'organisation (trop ?) structuré.
Il défend (ou j'en retire) que les opérateurs doivent être au commande. Les services tiers servent de support (RH, finance, ...). Les objectifs clairs doivent être décrits et compris par tous. Par contre, les moyens peuvent changer en fonction des départements/pays/produits/marques.
Les KPI et/ou les indicateurs internes ne doivent pas venir inondés les managers/chefs intermédiaires. Ils doivent venir les supporter dans leurs décisions et leurs actions.
Finalement, François Dupuy nous propose d'en apprendre plus sur certaines sociétés qui "fonctionnent". Je ne vais pas m'attarder dessus car les informations sont assez ... floues. On reste dans le vague. Je ne cherche pas la solution pour que la société fonctionne. Je cherche des pistes de réflexion et ici, je suis resté sur ma faim.
Peut-être que le tome 2 saura se montrer plus utile et précis.
PS : Je me pose la question de l'utilité de ses missions dans les entreprises en lisant ce livre.
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Créée
le 9 févr. 2020
Critique lue 210 fois
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