I was walking on the road the other day, I hear a little human say

Quelle diablerie que ces livres de Stephen King des années 80 !

Je ne sais pas si j'étais en mode mono lecture, mais je pense n'avoir lu dans mes années début collège, que du Stephen King. Et celui là m'a diantrement marqué.

Étonnant ces livres qui ont la faculté à vous transporter dans leur Univers. Cette prouesse est bien entendu purement relative puisqu'elle est propre à chaque individu. Heureusement nous n'aimons pas tous la même chose ni n'avons la même sensibilité. Toujours est-il que ce livre a sur moi un effet étonnant. Un peu comme si confortablement installé dans mon canapé, avec un thé fumant (ou un verre de bordeaux, cela dépend de mon humeur), je regardais par la fenêtre, tomber la pluie. Sécurité, confort, bref c'est étonnant, mais voilà ce que me procure comme sentiment ce bouquin.

Je ne vais pas résumer l'histoire, ni faire le descriptif de tel personnage ou de telle société dans laquelle baigne le héros. Beaucoup de critiques le feront bien mieux que moi. De toute façon c'est simple, linéaire. Un jeu, 100 concurrents. L'objectif, marcher plus que les autres. Tu t'arrêtes, tu perds, tu meures. Tu es le dernier, tu survis, tu gagnes. C'est on ne peut plus facile comme intrigue ! Les minutes deviennent des heures, les heures des jours et pas de triche possible.

Je l'ai relu il n'y a pas si longtemps que cela, et cela se lit toujours très bien. Aussi si l'envie vous prend de lire un livre "simple", mais atypique,(en même temps c'est du Stephen King) n'hésitez pas, il se laisse lire tanquillou.

Et comme bien souvent avec cet auteur, la conclusion est ...

See Ya