Les larmes montent plusieurs fois à la lecture de ce roman.
Tantôt de joie, tantôt de tristesse, tantôt (et le plus souvent) à cause de la beauté simple et limpide des scènes et des mots soigneusement choisis par l'autrice.
Il y a cette vache, dont on ne sait ce qu'elle regrette, qui tente souvent de s'enfuir du troupeau. C'est la préférée du vacher. Il y a Henri Deslois, qui se présente souvent sans jamais oser parler.
Il y a tous ces personnages simples autour Marie-Claire, et leur pauvreté contraste avec la richesse qu'ils/elles apportent à cette jeune fille pleine de vie.