Si beaucoup de ceux qui ont lus le premier attendaient une suite, un certain nombre en furent déçus et pourtant ce ne fût pas mon cas. Quand bien même il est plus court, l'histoire de fond plus superficielle et la mythologie du métro peu enrichie, Métro 2034 reste malgré tout une merveille de la SF post-apo et garde tout le charme russe du premier et ce n'est pas pour me déplaire , les personnages sont sombres et relativement torturés comme Hunter, et d'autre apportent l'espoir comme sacha . Le passage de la Toulskaya reflète évidemment tout le côté mystique et surnaturelle du roman. E il nous montre toujours le désespoir de l'homme revenu pour certain à l'âge de pierre et qui ,comme Sacha qui croit dur comme fer à la cité d'émeraude.