Metro 2034, ou la rencontre du post-apo et des librairies Arlequin
J'ai adoré Metro 2033 et ai commencé Metro 2034 en espérant trouver des questions aux réponses restées en suspens.
SPOILER ALERT!
Tout d'abord Glukhovsky a réussi à garder la pêche et la fluidité dans son roman. L'univers est toujours cohérent et on sent son évolution.
Mais ça n'a pas suffit à me faire accrocher. L'histoire a mis du temps à démarrer. Les nouveaux personnages ont tendance à se lamenter plutôt qu'essayer de se battre.
On ne trouve pas de perso aussi torturé qu'Artyom. La réapparition de Hunter surprend, c'est un fait mais les personnages qui gravitent autour de lui ne sont pas assez équilibrés. Homère est vraiment un plus, mais il se retrouve effacé face à Léonid et Sacha.
Une romance s'installe entre les personnages : Hunter cherche à se retrouver, Sacha veut être avec Hunter, mais Léonid veut être avec sa Sacha, et Homère galére à écrire son bouquin donc il cherche à se débarasser de Léonid.
D'un roman post-apo crade on passe à une romance tri-partie à l'eau de rose.