Journal d'un dealer
Malgré 35 ans de carrière et une voix reconnaissable entre mille, Mark Lanegan restait toutefois entouré d'une aura de mystère et de ténèbres aussi sombres que son univers. Auteur d'une chiée...
Par
le 30 août 2020
7 j'aime
J'ai d'abord cru à un livre anti-écolo, à tort. Sous couvert d'écologie, Pierre Boulle nous parle ici du pouvoir et des concessions que font les politiciens pour y rester.
Le Président Blondeau est un écologiste sincère mais naïf, qui ne cessera de compromettre ses idéaux pour ne pas avoir à reconnaître son échec. Souvent dépassé par les événements, il s'en remet à des personnages qui prêchent tous pour leur propre paroisse (l'ingénieur, le scientifique, la bigote...) et se rend compte que quoi que l'on fasse, cela aura toujours un impact sur la nature et ses habitants (nous y compris). C'est pas forcément super optimiste comme bouquin.
C'est court et écrit de manière assez "simple". Le propos est intéressant mais on regrettera le côté répétitif des péripéties (problème à la centrale > proposition indécente d'un conseiller > refus puis approbation du Président > impact négatif sur l'environnement), et le manque de développement de certains aspects ou personnages.
Créée
le 24 sept. 2017
Critique lue 282 fois
Du même critique
Malgré 35 ans de carrière et une voix reconnaissable entre mille, Mark Lanegan restait toutefois entouré d'une aura de mystère et de ténèbres aussi sombres que son univers. Auteur d'une chiée...
Par
le 30 août 2020
7 j'aime
Lovecraft Country (2016) fait parti des livres qui veulent dénoncer le racisme (en mettant une ptite baffe à Lovecraft au passage) à travers un récit fantastique, au même titre que La Ballade de...
Par
le 2 juil. 2020
7 j'aime
L'éternel problème du cycle de Dune : tout est super, de l'univers aux personnages en passant par l'intrigue, mais bordel, qu'est-ce que ça peut être chiant par moment ! Frank Herbert fait tout pour...
Par
le 11 févr. 2019
6 j'aime