Un chef-d'oeuvre
"Nadja" est un des meilleurs livres du XXème siècle, et l’un de mes préférés dans toute l’histoire de la littérature. Le surréalisme atteint ici son point culminant, sa véritable cristallisation, et...
le 15 sept. 2014
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En écrivant le début de cet avis j’ai pensé à cette fameuse Aya Nakamura et je me plais à croire que certains humains ici vont faire une affreuse grimace considérant que le début de cette critique est antilittéraire. Je vous dis d’aller déverser votre venin dans une autre gamelle à pâté.
Nadja, Nadja un si joli nom pour une fascination surréaliste d’une pauvre fille en déroute (il lui faut un chat pas une thérapie).
Vous ne comprenez pas tout dans ce livre ? C’est normal ! C’est du surréalisme : association d’idées contraires ; liens avec la folie ; thématique du rêve ; errance sans but. Voilà donc un bon cocktail qui vous servira les traits caractéristiques de ce mouvement littéraire qui ne fait pas nécessairement l’unanimité. Avez-vous déjà été témoin de la rencontre fortuite entre une machine à coudre et un parapluie sur une table de dissection ? Moi oui et c’est ignoble. Vous avez des délires vraiment particuliers et vous prétendez être au-dessus de nous autres, chats.
Je vous regarderai à travers votre fenêtre grillagée quand vous serez en hôpital psychiatrique si vous abusez trop des exercices d’écriture surréalistes.
Créée
le 28 oct. 2024
Critique lue 4 fois
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