J'ai rarement lu de texte sur ce sujet de la consolation bien que les textes sur la dépression en sont proches. Malgré un thème très fort et dont je me sens proche, je trouve que ses pensées autour de cette consolation à laquelle certain aspirent sont un peu creuses. Du moins, je n'ai pas les mêmes.
Je ressens à la lecture un anarchiste perdu dans une quête un peu puéril de vouloir être 100% libre. Peut être avait-il besoin de vivre les utopies des années 60. En tout cas, bien que je ne trouve pas le texte très enrichissant et répondant à des questions que je me pose, il en reste très beau et il est toujours intéressant de voir ce genre de ressenti. Surtout quand il approche les nôtres, même à une époque différente.