L’autostoppeur, ou celui à qui on ne donne pas de nom. Celui qui part toujours, pour se retrouver, renaitre. Sacha le retrouve après 20 ans. Il n’a pas changé, toujours cette même envie de virevolte sur les routes.
Pourtant Sacha lui, a décidé de rester. Ou est la liberté ? Qui a raison ? Le bonheur réside parfois dans les habitudes, dans les petites choses qui nous raniment. Nous font sourire.
Sacha sourit quand Marie lui tend une tasse de café chaud. Pour l’autostoppeur, il lui faut l’accumulation de polaroïd, de kilomètres dans le ventre.
Tout est bon, pour toucher au bonheur.
Tous les personnes voudront comprendre cette envie de dévaler les kilomètres. Se perdre dans les réalités des autres personnes.
Marie et Sacha s’aiment, et enrichissent leur amour grâce a la liberté si accessible de l’autostoppeur.
Comprenant que finalement, ils peuvent la vivre en voyageant ensemble tout aussi intensément.