Pour un livre dont toute l’intrigue se passe dans un train de nuit, être qualifié de roman de gare pourrait sembler naturel. Pas un mauvais roman, mais loin d’être un chef d’œuvre, ce nouveau texte de Besson nous fait suivre trois groupes de personnes réunies dans un même wagon d’un train de nuit.
Confidence pour confidence aurait été plus approprié que La nuit je mens pour l’inspiration musicale (du moins pour le titre, passons outre les paroles) de ce roman, chaque personnage ayant décidé de tout révéler de sa vie à de parfaits inconnus la nuit durant. Trop policé à mon sens, tout le monde il est beau il est gentil, trop attendu, trop stéréotypé somme toute.
C’est dommage il y avait matière à faire…