Ado lassante
Une jeune femme qui se sent radicalement différentes des autres humains évoque ses états d'âmes, ses coups de gueule, ses émotions, ses interrogations. Le permafrost, c'est cette épaisse couche...
Par
le 21 déc. 2022
Pour pouvoir vivre, la narratrice de Permafrost n’a eu d’autre choix que de se protéger des femmes auprès desquelles elle a grandi, mère, sœur, tante, de leurs obsessions navrantes, de l’hypocrisie familiale et son cortège de mensonges ou de sourires pour entretenir cette idée de l’épouse comblée et de la mère épanouie. Mais derrière l’épaisse cuirasse qu’elle a dû se fabriquer, ne se retrouve-t-elle pas prise comme dans une terre perpétuellement gelée, enfermée avec ses pensées suicidaires ?
Parfois elle trouve auprès des femmes et de leur corps un refuge pour quelques nuits, quelques semaines.
Cela ne l'apaise en rien puisque le malaise est là, bien ancré.
Sur le papier ça donne envie. Beaucoup ont aimé. Moi pas ! Je me suis ennuyée. Je suis même allée jusqu'à oublier la page que je venais de lire. J'ai continué jusqu'au bout et heureusement. Les 10 dernières pages sauvent un peu le tout.
Déception donc mais j'en connais certain.e.s qui vont beaucoup aimer.
Créée
le 19 sept. 2020
Critique lue 154 fois
D'autres avis sur Permafrost
Une jeune femme qui se sent radicalement différentes des autres humains évoque ses états d'âmes, ses coups de gueule, ses émotions, ses interrogations. Le permafrost, c'est cette épaisse couche...
Par
le 21 déc. 2022
Après les premiers chapitres qui semblent ne mener à rien, j'ai beaucoup aimé ce texte plein de métaphores et d'aphorismes alambiqués, drôles et sensibles. Le rythme du texte proche de l'oralité nous...
le 14 mai 2021
Pour pouvoir vivre, la narratrice de Permafrost n’a eu d’autre choix que de se protéger des femmes auprès desquelles elle a grandi, mère, sœur, tante, de leurs obsessions navrantes, de l’hypocrisie...
Par
le 19 sept. 2020
Du même critique
Film noir et rouge, comète de Halley, virus qui tue les gens qui font l'amour sans amour. Coup de foudre d'un funambule pour une mystérieuse femme-enfant. Mi-polar, mi-poème d'amour, Mauvais sang est...
Par
le 25 oct. 2010
30 j'aime
8
Il y avait l'excellent Fucking Amal... La France a "Naissance des pieuvres". C'est laid, vide, sans nuance, mal joué et en plus faut se taper de la natation synchronisée...
Par
le 14 avr. 2011
11 j'aime
1
Lip Service : THE série pour les filles pas que lipsticks ! Là où The L Word n'était que fantasme, là où les lesbiennes de L.A. n'avaient pas de problème de fric, de meufs, d'appart, là où l'on ne...
Par
le 9 févr. 2011
11 j'aime
3