Je connais Orwell, j'apprécis vaguement 1984 que je n'ai pas eu le temps de finir... et j'appréciais beaucoup la ferme au animaux, même si l'amour m'est un peu passé, et malheureusement, du fait qu'en laisse encore un rien une culture littéraire au gens, je me suis retrouvé entouré d'une brume, humaine, la pire, de ses propos "Pff je l'ai eu en cour relou"... Je sais je sais, cela n'influt en rien la qualité du livre, mais cela déchire un peu son sois...


Et avec une mauvais attente, la dernière de couverture nous ventait "l'idée selon laquel l'art ne devrait rien avoir affaire avec la politique est elle même une opinion politique", idée que je trouvais d'un faible, mais d'un faible ! J'y allais donc avec une hargne, une envie de m'opposer et de reconsidérer cette auteur avec un nouveau recule prit avec les ages...


Et clairement, il n'a jamais dis cela, et c'est tant mieux. Cette phrase plus haut est pareil a la démonstration que je ferais de la suivante "Le monde est complexe, et une part de la population, surtout dans les millieux précaire, le jeunes filles, suivant les besoins, le contexte social, voir quelque fois suivant leurs envies, en viennent a vendre leur corps,", pour que cela donne "les jeunes filles, suivant leurs venies, en viennent a vendre leur corps." L'on vois bien toute la nuance et le contexte qui s'est perdus ? Bon, ne tennez donc pas compte de cette phrase, qui trahis le propos de l'auteur (et je n'ai pas dis que c'était un contre sens, comme dans ma démonstration, c'est bien une simplification mensongère)


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En sois, le livre comporte 6 texte différents, que je vais ici différencier :



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Les récits de vie : "Retour sur la guerre d'Espagne" et "Comment meurt les pauvres".


Rien à dire de particulier, la force d'évocation de ses récits est suffisante, un point de vus érudit, sincère, même avec les positions forte de l'écrivain plein de nuance, enfin plus d'un détachement, non pas qu'il souhaite réellement équilibrer différente positions pour qu'elles se valent, mais plutôt qu'ils les attaques tous avec autant de force pour souligner l'hypocrisie et la faiblesse de chacun, sans distinction entre le son camp et celui d'en face.


Littérature (art) et sociétés : "La littérature empechée" et "Les Ecrivains et le Léviathan".


Ici, il est plus en rapport de la position dans l'artiste dans un contexte politique et social (non pas dans le sens humain mais dans le sens de l'interaction en société), avec un texte fort pour la liberté d'expression, et quelque tacle, enfin, a se niveau, c'est plus qu'un tacle : Pour la force il faudrais crier faute, mais pour la forme on salurat le jeu irréprochable ! je pense que la littérature empechée est le texte le plus dure du livre, dans le sens il m'eu été le plus durs à suivre, l'enchainement d'idée me perdant un peu non pas dans le propos mais dans la vitesse. Il n'empèche que je ne peut qu'être d'accord sur tout les nuances entre l'écrivain et le texte d'un coté, et la politque et l'engagement de l'autre. Il prétends nullement, au contraire, que ce qu'écrit l'homme puis être de quelque façon que ce sois hors de la sphère politique, au sens large, mais il attaque bien cette idée qu'un texte est résumable, voir même attaquable sur sa vision politique des choses. Lisez le c'est très bon pour l'esprit.


Ecrire : "Politique et langage" et "Pourquoi j'écris".


Une leçon d'écriture et de style, d'un angle certe plutôt "politique", dans un sens extrement large cette fois ci. Et quand je parle de leçon, entendons bien non-pas quelque chose que l'on inflige, mais un apprentissage qui laisse une soif de réflexion, que l'on completera part sois même, tant l'invitation à poursuivre est forte. D'ailleur, après avoir lus ce texte, la phrase plus haut vous parraitra immonde (au point de vus du style), je vous laisse en faire l'expérience.
Mais d'un point de vus littéraire, ses deux textes sont excellent, grace a l'intelligence et la force de l'auteur, loin d'être la parodie que l'on nous sert habituellement de lui, qui résume son oeuvre a poster sur de résaux sociaux des dénonciations de big brother, et crier a 1984 toute chose entrant pleinnement dans le contrat social
(D'ailleurs, ceux qui se plaignent de ne pouvoir être libre, criant à la dictature "1984", dès qu'on les obligent, est-ce qu'il souhaitement vraiment une abolition de l'autorité ? Si l'on abolie les règles empechant la violence, auraient-ils quelque chose a gagner ? Voir même, est-ce que souvent, vus leurs classes social, auraient-ils vraiment quelque a gagner d'un changement de l'ordre établi ?)


Je rajoute après coups qu'il faut lire en complément "Le dictionnaire des idées reçus" de "Flaubert", s'inscrivante en "prequel" de moulte idées ici développé par Orwell !


En sois, des textes variés et extrêmement intéressant d'un auteur majeur, que tout le monde connait sans avoir lut (malheureusement), qui ne peuvent laisser sur la fin tant la force de ton de l'auteur y est prépondérant !

SlowCoffee
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le 5 févr. 2022

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