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livre de Platon
Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
a recommandé le livre
, lui a attribué 7/10 et l'a ajouté à sa liste
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
Beaucoup plus complexe que ce à quoi je m'attendais, à la fois réflexion sur la vertu et critique des sophistes. Il y a un côté "portrait de la vie intellectuelle sous Périclès" qui est fun.
Le 31 juil. 2024
Le 13 juil. 2024
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
Le 7 mai 2024
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, lui a attribué 7/10 et l'a ajouté à sa liste
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
Le 6 avr. 2024
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Résumé : « La vertu peut-elle s'enseigner ? » Le Protagoras est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate et des sophistes (le dialogue est d'ailleurs sous-titré « Les sophistes »), ces professeurs de rhétorique qui forment la jeunesse athénienne. Il est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie/sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon : les sophistes sont pour lui des pseudo-maîtres qui parlent de la vertu sans être en mesure de la définir, qui en lieu et place de la vérité ne sont préoccupés que d'efficacité, de virtuosité verbale et de pouvoir. Socrate affronte Protagoras et parvient à démontrer que la vertu est une, qu'elle est la science même et qu'elle peut être enseignée. Cette véritable mise en scène des idées permet de se figurer avec précision (les thèses sophistiques y sont présentées avec soin, en particulier celles de Protagoras) et humour à quoi pourraient ressembler des états-généraux de la sophistique qu'un Socrate ironique et malicieux viendraient interrompre pour mieux les défaire. Platon nous convie à un dialogue-spectacle dont l'expression ludique s'accorde avec la profondeur de la réflexion philosophique comme rarement dans son oeuvre. « Un classique. »
