Quand j'avais cinq ans, je m'ai tué par Elliot de Saint-Saëdin

très bonne réflexion du monde des adultes par un enfant. Livre attendrissant qui montre la bêtise toujours présente chez certains adultes sur le sentiment amoureux qu'éprouvent aussi les enfants (ça peut me faire penser à cette chanson "y a pas que les grands qui rêvent", la comparaison est triste mais c'est ce qu'il me vient à l'esprit)
Elliot_de_Saint-Saëd
8

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le 5 mai 2014

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