Ces "récits" relatent davantage des faits divers que "certains faits". L'auteure fait le tour des nouvelles scabreuses, des salles d'audiences pénales pour relater des échanges et plaidoiries faisant état de la lie des comportements humains. Au milieu de cela, en guise d'interludes, figurent des épisodes de son installation à Venise, sans transition bien nette avec ce qui précède et ce qui suit. Aucune synthèse n'est tirée de ces expériences ; cela m'a plutôt agacé qu'autre chose, et j'ai trouvé vain de se livrer à ce genre d'expériences, divulguées sans effort d'ordonnancement. C'est dommage.