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Ah, Panam...
Oui, Panam, et non pas Paname ! Dans ce premier roman, Raphaël Albert nous dépeint la capitale sous un jour complètement fantasque et fantastique. Nous sommes en 1880 et suivons les aventures de...
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le 5 mai 2011
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Panam, Panam, Panam.
Un roman de fantasy steampunk plutôt à part. En effet, le roman prend pour cadre une ville nommé Panam (tiens, tiens…) et qui n’est pas sans rappeler notre Paris national. Sauf que tout y est savamment modifié, détourné, pour notre plus grand plaisir. Le boulevard Barbès devient ainsi le boulevard Barbe, la rue Marcadet la rue Farfadet… et ainsi de suite, tout étant à l’avenant.
Tout cela donne un mélange savoureux du Paris des années 1880 – 1900 et la fantasy représentés par le peuple féérique (elfes, nains, orcs, élémentaux…) et les sorciers. Les premières voitures commencent à remplacer les fiacres et les centaures taxis (si ! si !) et les créatures fantastique sont mêlées à la population.
Le narrateur et héros est un privé et accessoirement un elfe (à moins que ce ne soit l’inverse) et l’intrigue empreinte résolument son ambiance aux polars noirs (vamps, détective fauché et alcoolique notamment).
Au final, un récit classique dans son fonds, mais pas dans sa forme, et servi par une plume qui détourne habilement (et parfois moins) Paris pour en faire Panam.
Tout cela donne un mélange savoureux du Paris des années 1880 – 1900 et la fantasy représentés par le peuple féérique (elfes, nains, orcs, élémentaux…) et les sorciers. Les premières voitures commencent à remplacer les fiacres et les centaures taxis (si ! si !) et les créatures fantastique sont mêlées à la population.
Le narrateur et héros est un privé et accessoirement un elfe (à moins que ce ne soit l’inverse) et l’intrigue empreinte résolument son ambiance aux polars noirs (vamps, détective fauché et alcoolique notamment).
Au final, un récit classique dans son fonds, mais pas dans sa forme, et servi par une plume qui détourne habilement (et parfois moins) Paris pour en faire Panam.
7
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le 17 févr. 2015
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