Vertigineux...
Je crois que c'est le mot qui convient pour définir ce livre.
Pour être honnête, j'ai lu ce bouquin en deux fois. Quand je l'ai commencé il y a quelques mois, j'arrivais pas à "entrer dedans". Je comprenais rien au côté science de la fiction, vraiment, j'ai pas pu. Alors je l'ai mis en pause. Je ne l'ai pas arrêté pour deux raisons : d'une parce que j'aime beaucoup ce qu'écrit l'auteur d'habitude, de deux parce que s'il dit que c'est un de ses meilleurs, je vais pas passer à côté, crévinguiou d'bon sang de bois !, et de trois parce que certains de mes potes dont les goûts sont proches des miens l'ont fort bien noté... Bon ça fait trois raisons, ok d'accord.
Alors quoi !? Un peu de hard science va me laisser collée au plancher des vaches ? Meuuuuuuh non... Car il y a peu, j'ai lu l'avis de Eric75, et miracle, j'ai commencé à comprendre quelque chose à ce qu'il se passait dans ce livre, ce qui m'a décidé à le reprendre... Or donc tout cela est "expliqué" dans la postface ! Mais que c'est bête ! Je vous le dis en vérité, ça m'aurait simplifié la lecture si la postface avait été une préface, même si ça déflorait quelque peu la surprise, je vous l'accorde.
Parce que ce bouquin est juste "soufflant". Vertigineux. Prodigieux. Rien que dans l'idée, déjà, dans les descriptions, et même dans les relations humaines qui me paraissent plutôt justes dans l'ensemble.
Ce n'est même plus un road-trip interplanétaire, mais un road-trip intergalactique et au-delààààààà !
Alors je vais continuer à planer un peu, si vous voulez plus de détails lisez les moult autres avis, moi je vais aller voir si je peux dégoter le fameux bouquin de Silverberg dont parle Fnitter... En volant, oui oui...
(Bon juste il faut pas tenir compte des 4 dernières pages, mdr...)
(Et quand je parle de mes potes, c'est mes potes Babelio).