Un écrit très mauvais, pseudo féministe, on assiste à la débâcle de l'art à travers un style insipide, fade et même très médiocre, en outre vulgaire, qui donne envie de jeter le livre à la poubelle mais je le garde comme exemple de la décadence. On voit le niveau de culture bas et sordide de ces étudiants qui "joue avec leur caca" comme l'a si bien formulé l'écrivaine. Au lieu de cultiver la beauté et l'harmonie, ils préfèrent le laid, le vulgaire et le chaos. Profondément Paradoxal, l'écrivaine présente une liste d' "artistes" qui se mutilent, paignent avec leur organe sexuel et autres réjouissances ignobles alors que précédement un étudiant les critique justement pour ces créations. Sous couvert d'un pseudo féminisme on assiste à toutes les "valeurs" de l'intelligentsia de gauche, profondément stupide et sordide. Cerise sur le gâteau, l'écrivaine se fait passer pour une résistante, Jean Moulin du dimanche. Désormais nous savons que résister et être plus intelligent c'est être subversif en agencant un "beau bordel" de sex toy, de préservatifs, d'actes ignobles et ainsi de suite.
Ainsi on loue l'originalité (très facile à faire en réalité) au détriment de tout raffinement et de toute morale, de la même manière qu'un jour on objecta à Damien Hirst que n'importe quel quidam pouvait mettre un mouton dans du formol il répondit pitoyablement :"Mais ça ne s'était jamais fait n'est-ce pas ?"
Lorsqu'on lit ce sordide torchon on a l'impression d'assister à la satanique et ultimement maléfique exposition Sensation qui avait mis en avant une tueuse d'enfant...
Comme l'a si bien formulé un certain homme, pour être un homme de goût artistique il faut désormais n'avoir aucune norme personnelle à violer, ainsi que l'écrivait Ortega Gasset :" Les barbares n'ont pas de loi; la barbarie c'est l'absence de normes et l'impossibilité de tout recours."