Dès le début de l’histoire, je suis projetée au cœur d’un monde post-apocalyptique où une nouvelle société présidée par un tyran nommé Monsieur Lattimer tente tant bien que mal de survivre. Tous les espoirs de la démocratie reposent sur les épaules de notre jeune héroïne Ivy qui doit se marier avec le fils du président afin de pouvoir le tuer.
Je m’étais pourtant promis cette fois de résister et de ne pas repartir avec un ouvrage. Je me sens comme une femme au régime à qui on tend un énorme beignet au chocolat. Tant pis pour les principes, je ne peux pas le reposer, il faut absolument que je continue la lecture.
48h après, le livre est terminé et je ne suis pas déçue. J’ai beaucoup aimé suivre l’évolution du couple, comment ils apprennent à se connaître et à s’apprivoiser. Le concept des deux familles rivales n’a rien de nouveau, pourtant il fonctionne à merveille. Au fil des pages, on ne peut pas s’empêcher de se poser des questions sur le passé de ces familles et sur les différents personnages. En parlant de personnages, j’ai beaucoup apprécié la complexité des héroïnes. Ivy est courageuse et honnête, il est facile de s’attacher à elle. Quant à Bishop, on aimerait le détester pour facilité la tâche d’Ivy et pourtant, c’est un jeune homme attentionné aussi perdu qu’elle.
Pour lire la chronique entière, c'est ici : http://juliejodts.fr/lecture-the-book-of-ivy/