Dans ce second tome, on retrouve Ivy, de l’autre côté de la barrière. La vie y est, comme elle s’y attendait bien plus dur, d’autant plus que Marc, expulsé pour viols et violence quelques temps auparavant, est toujours dans les parages. Heureusement, elle trouvera également des gens qui accepteront de l’aider à survivre, de lui apprendre à se débrouiller seule dans ce milieu hostile.
On retrouve dans ce roman plus d’élément sur le background, même si au final ça reste limité puisqu’il n’y a que deux tomes. J’ai bien aimé le travail sur la psychologie des personnages et la façon dont les relations se nouaient entre eux. L’intrigue est toujours bien menée (j’ai d’ailleurs aimé que ça ne s’éternise pas), et le style est agréable à lire.
C’est donc une jolie découverte, j’ai apprécié cette dystopie, même s’il y a des codes qu’on retrouve sans trop d’originalité dans toutes les séries du même genre. Mais certains détails sont bien trouvés et ça reste une bonne lecture !