Page 59, j’arrête ! Encore un abandon, je n’aime vraiment pas abandonner un livre, mais là, je n’arrive pas à aller plus loin. Les 2 seuls avantages que je trouve à ce roman est que les chapitres sont courts et les phrases ne font pas 10 km. Je ne comprends pas pourquoi il a reçu le prix Pulitzer. Je n’arrive pas à suivre le dénouement de l’histoire, au début de l’histoire, la jeune fille aveugle, Marie-Laure est à Saint-Malo puis quelques pages plus loin est à Paris, c’est quoi ce bond en arrière ? Je n’ai pas compris ! Le fait que les chapitres soient courts est à la fois un plus, comme ça, on peut arrêter notre lecture à un point précis, mais c’est à la fois un peu pénible, car on passe de Marie-Laure à l’orphelin, Werner, sans trop en savoir sur eux, sans trop comprendre le sens de leur vie, de l’histoire. Ça traîne un peu trop en longueur. Je reprendrais peut-être cette lecture un jour, mais pas pour le moment.