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(sans parler du chien)
C'était la première, et une des rares fois, où je riais à gorge déployée en lisant. Le fil du roman, un voyage en bateau sur la Tamise, est constamment interrompu par les digressions...
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le 1 juil. 2010
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(sans parler du chien)
C'était la première, et une des rares fois, où je riais à gorge déployée en lisant. Le fil du roman, un voyage en bateau sur la Tamise, est constamment interrompu par les digressions philosophico-pouet-pouet du narrateur. Hypocondriaque et paresseux, il est toujours d'un sérieux compassé, qu'il s'agisse de l'histoire de l'Angleterre médiévale, ou de sa propension à souffrir de toutes les maladies répertoriées (à l'exception notable de l'inflammation chronique du genou).
Tiens, faudrait que je me le fasse en VO, pour voir ce que ça fait.
Tiens, faudrait que je me le fasse en VO, pour voir ce que ça fait.
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le 1 juil. 2010
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