Ai mis 2, j'eusse aimé pouvoir ne mettre aucune note. Cet objet m' est PRESQUE aussi illisible (à prendre au pied de la lettre) que Finnegans wake.
Une précision: ai lu Ulysse dans sa traduction française, ça joue clairement. Dans la version originale, des calembours céphalo-céphales un peu partout, en allemand-anglais-hébreu, et je parle pas des connotations typiquement irlandaises.
Conclusion logique: j'ai du mal à croire que la traduction française soit autre chose que le petit frère un peu mongol de l' original. Sans doute pas le même bouquin, donc, d’où ma réticence à mettre un 2. C' est peut-être un 10, à la source.
Revenons donc au petit frère. Bien des ''amateurs'' avec qui j'ai causé d' Ulysse m' ont servi le célèbre ''Tout de même! Ce monologue de Molly Bloom!...'' qui ne ferait rougir aucune des entrées du dictionnaire des idées reçues (Gustave, chapeau bas!). En grattant un peu me suis rendu compte qu' ils n'avaient pas lu le bouquin, ou alors un extrait, un soir d' audace ou bien plus tristement en cours de français, il y a bien longtemps, un vendredi je ne sais elle m' aime crois-tu et si jamet l'essenciel le ciel ça c' est jean-jacques Goldman du arsch spinne il était bien mamie tu l' aimais alors du temps pourquoi et pourquoi pas s' il veut la guerre para bellum des trois César y' en a plus des trois César celui que je préfère oui y' a César le Chat ça se mange c'est du chat qui mange le chat du chat au carré racine de chat moins cosinus de mal au nez c' est le vent le froid comme l' hiver un matin sans doute je l' ai bien vu moi le sniper allee Zeljko Samarsik un colosse je te dis pis fallait pas lui en promettre de la rakjia mon dieu mon dieu lamma sabbachtani qu'est ce que c' est que cette histoire de croix-tu qu' elle reviendra
Ça énerve, hein?