De manière générale « Un(e)secte », m'a favorablement surpris. Chattam se lit plutot agréablement et les descriptions d'attaques d'insectes sont particulièrement réussies. Même son héros, Gore, adepte de heavy metal et gay dénote, même si cette homosexualité pourrait être beaucoup plus développée, comme si Chattam s'interdisait d'aller trop loin dans cette partie de peur de perdre du public.
Car effectivement « Un(e)secte » ratisse large, l'intrigue est très lente à se construire et les ficelles particulièrement grosses avec un méchant mélange de patron de GAFA et d'ennemis de James Bond.
Avec ses personnages caricaturaux, son scénario apocalyptique grossier et son happy-end facile, « Un(e)secte » est néanmoins à classer pour moins dans la littérature peu sophistiquée capable de toucher un public relativement peu exigeant.
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