22 nouvelles pour 309 pages, autant vous dire qu'il y en a de très courtes !
Je ne vais pas détailler mon avis par nouvelle, du coup, ce serait trop long.
J'aime Bradbury pour sa plume poétique, onirique même, par moments.
Certaines de ces nouvelles ne m'ont pas vraiment touchée, j'avoue être arrivée à la fin en me disant "WTF ?", mdr ! Mais je parle de deux ou trois, sur 22, ce n'est pas beaucoup.
En tous les cas, je ne me suis pas ennuyée, et je suis toujours surprise par son inventivité, sa capacité à faire de la moindre petite chose un sujet d'écriture (un grenier, une période de sécheresse, des voisins discrets, etc...).
J'ai particulièrement apprécié "Le dragon"(1956, publié en magazine), "Le rêve de fièvre"(1948, magazine) (glauque, car il sait faire aussi...), "La ville où personne n'est descendu..."(1958, magazine), "L'odeur de la salsepareille"(1953, magazine), "Coucher de soleil sur la plage"(inédit et sans date) et "Le jour où la pluie tomba"(inédit et sans date).