Plus ça va, plus Amélie Nothomb se fiche du monde.
Depuis un certain nombre de romans (je dirais à partir de 'Biographie de la faim', en excluant 'Acide sulfurique'), elle ne se renouvelle absolument pas ; ses histoires, ses thèmes, et ses personnages ne sont que des recopies (ou des mélanges) de ceux des romans précédents, et ses fins sont atrocement bâclées, mal amenées, décevantes. Sans compter que ses livres sont très courts, qu'elle en sort un par an (alors qu'elle prétend en écrire plus de trois chaque année mais ne publier que ce qu'elle estime valable ; j'ose à peine imaginer la teneur des deux restants). Elle se repose clairement sur sa notoriété (et même plus sur son talent).'Une forme de vie' en est la parfaite illustration.
Ah, et puis dans ce livre, en parlant d'un personnage informaticien, on peut lire "programmateur". Ha ha. Stoi, l'amateur.