Des quatre essais... Celui à éviter. [1.0]

La chance me prit de lire les essais dans le - presque - meilleur ordre possible : Le Rideau; Les Testaments Trahis; L'art du Roman (lut trop tôt pour moi); Et Une Rencontre.

Je dis "éviter", non pas en définitif, mais en dernier recours, puisque, je mentirais si je dénigrais ce livre...

Mais je trouve que trop de chose ne vont plus.

Cela me semble déjà être la pire forme que j'ai pus voir des 4 essais, surtout au vus du contenus. C'est très très dure de saisir les propos si on n'a été exposé avant - même dans se cas c'est affaire difficile.

Ensuite, on va très très très loin dans la réflexion et la critique (toujours dans le sens noble de critique), si bien qu'il faut quasiment une maîtrise sur les livres et musiques en question, plus d'ailleur que ne possèderais un connaisseur, pour réellement saisir l'ampleur du propos.

Enfin, de mon point de vus, je pense qu'il se trompe lourdement sur des points de son analyse, sur l'aspect politique, même si il en reste loin en apparence il s'agit de charge très dirigés : Il y a un relais entre une pensée "de droite" et l'art, mais présenté comme une pensée strito-artistique... Ce qui rend le tout, un peu con.

(je ne dis pas droite=con, même en le pensants fortement, je dis que c'est une forme de " "naiveté" " et de relativisme politique qui rend la pensée confuse).

Je rajouterais qu'il met un grand point sur ce que doit être ou nom l'art, de façon presque absolus, on dirais qu'il n'est pas en accord avec lui même, je pense dure de croire qu'il ait aussi peu poussé la réflexion pour arriver sur des non-sens aussi flagrant

Exemple de tête, sur l'adaptation qui dénature l'art, qui devrais être immuable. L'expérience du réel (tout l'art qui nous arrive est un biais du survivant et ne peut être la même chose que lors de son époque et contexte) et de l'histoire de l'art (l'art existe en continuité, chacun prends un part d'adaptation de ses prédécesseurs) ne vont pas dans se sens, qu'on n'aime ou pas. Je ne dis pas qu'il doit être de mon avis, mais justement, pour être cohérent avec lui-même, il devrais considérer cette réflexion qui n'a pus lui échapper.

Mais je vais loin, reste tout de même un bon essais, mais peut être, surement même, pas le premier à lire, et même dispensable.