ATTENTION : ATTENTAT A LA CULTURE !
Bon, je vous préviens, je ne vais pas y aller de main morte, et je n'ai même pas lu le bouquin en entier (désolé, je ne peux pas parler de "livre"). Mais Christine Angot, je peux la blairer, et qu'elle se soit faite violer par son père n'est pas une raison pour qu'elle pollue nos librairies et nos champs de vision. Sa thérapie, ça fait des années que ça dure, et il serait temps qu'elle fasse autre chose maintenant.
Vous voulez savoir comment ça commence ? Son père est assis aux chiottes, il bande, s'enroule une tranche de jambon cuit autour de la bite (le jambon cru, ça colle mal, alors qu'avec le jambon cuit, y'a déjà l'aspect gluant) et demande à la petite Christine de venir la manger, etc. (le mec, il va quand même aux chiottess avec un paquet de tranches de jambon...).
Voilà. Déjà, en sachant ça, je ne comprends pas comment des connards de vieux dégueulasses viennent acheter son livre, sans même avoir honte de nous le demander. Ils pourrait faire ça en cachette, mais non. Bon, là où je suis content, c'est que depuis deux semaines, c'est bien retombé. En même temps, une érection, ça dure pas longtemps.
Ce bouquin est, comme d'autres chose qu'elle a déjà écrites, un ramassis de phrases abjectes, qu'elle étale sous nos yeux avec son style à chier (vous en avez déjà lu ? Alors vous savez que c'est à chier, que c'est pas de la littérature). Sauf qu'en plus, ici, elle se fout encore plus de notre gueule : 130 pages écrites en (au moins) 14, avec des marges qui prennent la moitié de la page, le tout pour 14 €.
Bon, je vais pas continuer à lui taper dessus des heures, mais voilà je me demande comment on peut oser proposer ça à un éditeur, comment on peut oser publier ça et comment on peut oser lire ça. C'est un crime contre la littérature, et qu'on ne me parle pas de liberté d'expression. C'est juste malsain, graveleux et immonde.