Il y en a qui voudrait voir Vesoul ou Vierzon ; moi je rêve à Vheissu désormais, et j'ai aussi une vague envie de visiter les égouts de New York, je vous l'avoue. Véronica et l'évangélisation des rats à presque fait naître une vocation en moi - presque, parce qu'elle existait déjà. J'ai sans doute moins aimé Profane, mais il y avait pour nous sauver Stencil, père et fils, le conflit italo-vénézuelien, la révolution et le vol de Vénus. Et toujours Vheissu, les limites d'une paranaoïa et soudain, la vie de Fausto Majistral, Malte, La Valette et les bombardements.
Il y a de tout dans ce livre, de tout et presque pas de trop, c'est probablement ce qui en fait sa puissance magique. Ce qui fait le Top 10, et il ne reste qu'une question quand je le referme - après un long silence posé sur mon regard vide. Tout ça venait, je crois, du découpage du mauvais prêtre. - pourquoi ne pas avoir mis 10 ?
Je ne sais pas. Je changerai sans doute. Vite.