Comme indiqué dans le titre, on est plongé dans les prémices de l'impérium qui débutent avec la fin des guerres d'unification, la construction du Palais impérial et les nombreux "projets" de l'Empereur.
On en apprend un peu plus sur Constantin Valdor, l'imperturbable Capitaine-général des Custodiens. Fidèle bras armé de l'empereur, protecteur et témoin des grandes étapes du règne impérial. C'est l'archétype du stoïcisme sans faille, là ou les Primarques sauront se révéler moins fiables et avisés.
Le récit nous permet de mieux comprendre la distance qu'il peut y avoir entre Valdor et les primarques (et les Custodiens avec les Astartes), qui sont bien issus de moules différents pour des finalités toutes aussi différentes.
Même si le livre ne délivre pas de très grandes révélations (à mon sens), cela reste très plaisant à lire.
Il est ainsi très réjouissant de revivre au coté de Valdor des moments clés de l'impérium et de la genèse de l'Hérésie d'Horus. Et d'apprécier le degré d'abnégation du personnage en sachant ce qu'il l'attend dans le futur.
Amis publicistes des années 80: encore merci pour m'avoir fourni l'inspiration de ce titre