Un grand 8 car c'est la forme que prend le roman. Une succession de vagues, d'aller-retour entre 2 histoires dont le lien n'est jamais expliqué.
Leur tonalité alterne. Du doux ou douloureux. Du flou au précis. Du distant au personnel.
Enfin, si les deux histoires paraissent séparées, les dernières pages achèvent de cimenter le tout — rappelant que tout souvenir peut être modifié, emprunté et répproprié … pour mieux l'accepter ou au contraire, le dénoncer.
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Créée
le 15 sept. 2015
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