White Jazz
7.3
White Jazz

livre de James Ellroy (1991)

Première grosse déception venant d'Ellroy.
Faut dire qu'après la claque du Grand Nulle Part, c'était dur de suivre, mais bon, j'osais espérer passer un bon moment à la hauteur des deux autres bouquins de la tétralogie.

Narrativement, Ellroy se reconcentre sur un seul personnage, mais décide d'adopter un style plus particulier, assez hâché, presque télégraphique avec ses phrases courtes et l'abus de tirets.
Du coup ça m'a pas du tout aidé à rentrer dans le bouquin, surtout que l'histoire en elle-même est loin d'être la plus passionnante de la série.
Les nouveaux personnages n'ont pas grand chose de génial, et les anciens servent un peu de prétexte à quelques petits trucs sans grande inspiration.

Heureusement que la fin est bonne (malgré un petit côté didactique et une forme qui fait un peu trop scénario) et qu'Ellroy réussit toujours à exploiter un univers riche et dense avec intelligence.

De là à dire que c'était l'épisode de trop...

Maintenant faut que j'attaque la dernière série.
Dnvr
5
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le 25 janv. 2012

Critique lue 799 fois

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Dnvr

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