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Critique de Apples and Oranges par belaparte_pinkf
C'est la sonnerie de mon réveil !
le 2 juin 2014
I'm feeling very pink
1967 : Pink Floyd est en pleine période psychédélique. Syd Barrett mène le groupe et fait figure de leader indiscutable. Ils vont alors sortir un single écrit par Barrett : Paint Box. Chanson intéressante mais plus intéressante encore et le B-side de ce single : Apples and Oranges.
Véritable apocalypse, Apples and Oranges est un morceau absolument incompréhensible. Drogues, psychédélisme, génie se réunissent pour faire de la musique et tout s'effondre ; des bruits viennent et sortent de partout.
Si la musique paraît se tenir au début de la chanson, dès le premier "Apples and Oranges", les bruits prennent le pas sur la musique. Tout empire alors, toute logique étant absente du morceau si ce n'est le rythme couplet-refrain - assez rare qui disparaît assez vite. Cris, guitares, coeurs, tout se mêle inéluctablement pour donner un cocktail aussi explosif qu'inécoutable. À moins que complètement shooté...
Véritable apocalypse, Apples and Oranges est un morceau absolument incompréhensible. Drogues, psychédélisme, génie se réunissent pour faire de la musique et tout s'effondre ; des bruits viennent et sortent de partout.
Si la musique paraît se tenir au début de la chanson, dès le premier "Apples and Oranges", les bruits prennent le pas sur la musique. Tout empire alors, toute logique étant absente du morceau si ce n'est le rythme couplet-refrain - assez rare qui disparaît assez vite. Cris, guitares, coeurs, tout se mêle inéluctablement pour donner un cocktail aussi explosif qu'inécoutable. À moins que complètement shooté...
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le 7 juil. 2012
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