She's not a girl who misses much...
Il y a les Beatles, certes, mais il y a surtout la deuxième partie des Beatles, qui commence avec moi par A Day In The Life dernier morceau de l'album Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band, que je trouve formidable. Mais il y a aussi pour moi le morceau qui est peut être le plus à part, (Helter Skelter ne comptant pas), dans les Beatles. Assez méconnu, et pourtant très, très bon. Que dis-je diantre, ma première réaction sur cette chanson à été : Ah! C'est l'écriture de Bob Dylan interprété par les Rolling Stones. Ce morceau est peut être le plus violent des Beatles (oui, non mais regardez les paroles de Helter Skelter aussi), découpé en trois incroyable parties : un début très pessimiste parlant d'une femme qui ne "rate pas beaucoup", d'un homme aux intérêts mercantiles, et surtout des dons à cette fameuse "National Trust". Vient ensuite peut être leur plus grand allusion à la drogue : I need a fix 'cause I'm going down...", puis une répétition incessante : "Mother Superior jump the gun" et enfin, le plus beau, le "refrain" : Happiness is a warm gun, scandé par Lennon qui cohabite avec les coeurs, avec une incroyable maitrise du rythme, et l'insertion de ma phrase préféré, allusion sexuelle notable : "When I old you in my arm and I feel my finger on your trigger, I know, nobody can do me no harm because...". Bref. Quelle surprise, diantre, quelle surprise. Vous l'aurez compris, le bonheur, c'est un flingue chaud. Et évidemment, c'est de John Lennon (comme de par hasard)