CLAP
Pierre Billon. L’homme de l’ombre. Poète francophone de son état, il a écrit pour les plus grands. Tel Johnny Hallyday. Mais si voyons, Jean-Philippe Smet. Chacun des tubes du rockeur français...
Par
le 8 avr. 2014
10 j'aime
16
Créée
le 8 avr. 2014
Critique lue 195 fois
10 j'aime
16 commentaires
D'autres avis sur La Bamba triste
Pierre Billon. L’homme de l’ombre. Poète francophone de son état, il a écrit pour les plus grands. Tel Johnny Hallyday. Mais si voyons, Jean-Philippe Smet. Chacun des tubes du rockeur français...
Par
le 8 avr. 2014
10 j'aime
16
Je ne connaissais pas ce monsieur, Pierre Dilllon (honte sur moi!) mais au vu des 3 critiques trolls (qui se copient les unes les autres) sur lesquelles je suis tombée par hasard, ça voulait dire que...
Par
le 10 août 2016
3 j'aime
1
Il faut savoir rire des choses qui... font rire, tout simplement. C'est pas une musique "commerciale" ou "musiquale", mais je pense que les mecs qui ont collaboré à la création de cette chanson...
Par
le 1 nov. 2012
1 j'aime
Du même critique
Il est facile de réduire ce City Lights à sa bouleversante scène finale. Elle le vaut bien cependant tant elle se fait la synthèse de ce que le cinéma muet a de meilleur. L’absence de parole est...
Par
le 3 avr. 2014
69 j'aime
13
Avec ce film, j'ai découvert l’œuvre des frères Coen. Il reste à ce jour l'un de mes favoris. Jeffrey Lebowski (Jeff Bridges), qui se fait humblement appeler "Le Duc", est un fainéant de première...
Par
le 24 nov. 2013
57 j'aime
13
Un ciel sombre, chargé. Au travers filtre un mince rayon de soleil. Bouli Lanners pose l’esthétique qui habillera son film d’un bout à l’autre. Un poing sur la table. Puis il pose ses personnages. Un...
Par
le 30 janv. 2016
56 j'aime
26