Un bel exemple de compassion et de solidarité qu'éprouve Georges Brassens vers cette catégorie de femmes appelées de différentes façons et que Brassens égrène de la plus hypocrite forme (filles de joie) à la plus vulgaire et dégradante (putain).
Mais quand il emploie cette dernière c'est pour, violemment, fustiger ces clients qui paient un service et qui se permettent de mépriser ou de se moquer, une fois la chose faite.
"Il s'en fallait de peu, mon cher
Que cette putain ne fût ta mère"
Un jour, dit-on, à la sortie d'un concert, Brassens fut acclamé par un collectif de prostituées venues le remercier pour cette chanson qui leur restitue leur dignité de femme …
https://www.youtube.com/watch?v=HwPgs21a8_I