Après 10 épisodes de 50 minutes, la série met en lumière une période connue de l’histoire des états uni mais inconnue sur le traitement à l’écran. Je me suis surpris à aimer regarder de longues scènes avec de longs monologues où les personnages racontent avec philosophie leurs visions de la morts, de la vie et de la liberté tout en s’extasiant devant de grands espaces du grand vide américain. Et c’est sur ce point que cette série prédomine. L’écriture, et plus particulièrement les dialogues, se pose comme leader dans la mise en scène, la direction d’acteurs et les plans de caméra suit une poésie mélancolique rythmé écrit noir sur blanc par Taylor Sheridan le showrunner.
La progression des rêves des personnages du premier jusqu’au dernier épisode, est importante. En effet, la couleur de l’image évolue. La mise en scène évolue. Les personnages, en tous points, évolue. Comme une vie entière résumé en 10 épisodes avec ses espoirs, ses rêves, sa liberté.