- Saison 1 - « Il y a toujours trois versions : la vôtre, la mienne et la vérité »
Peggy Carter se démène dans un milieu fortement misogyne. Alors qu’Howard Stark est blâmé de ventes d’armes aux Russes.
Marvel a, contrairement au studio rival, l’ingéniosité d’avoir établi des univers télévisuel et cinématographique qui sont les mêmes, disséminant par-ci par-là de multiples références. On apprend à se familiariser avec des personnages pas aussi présents dans Captain America - First Avenger : on sait désormais que le père Stark est encore plus concupiscent que le fils, on fait pareillement la connaissance de Jarvis, protagoniste fort intéressant et terriblement attachant. Néanmoins, bien que la série soit brillante, elle n’est pas marquante.
- Saison 2 - « Pas de repos pour les éclopés »
Une actrice est infectée par la matière zéro et devient diabolique.
La femme de Jarvis est une vraie plus-value, elle permet d’approfondir celui-ci et de le rendre bouleversant. Les idylles bien que pléthoriques ne m’ont nullement dérangé, car elles permettent de considérer l’agent comme une humaine et d’offrir une séquence émouvante. L’antagoniste représente une époque où les interprètes étaient sélectionnées selon des modalités esthétiques. Il est toutefois regrettable que la série se soit mise à l’arrêt si précipitamment au vu de la scène finale.