Black Mirror par kerenard
C'est la première fois que je donne un avis sur une série mais celle-ci me donne vraiment envie, ce qui est super paradoxal étant donné le sujet traité qui me fait passer justement derrière le black mirror alors qu'il faut s'en éloigner.
Certes c'est du porno vintage cette série, jusque ou accepterons nous d'aller. Et là c'est poussé à l'extrême pour justement réagir.c'est donc une réussite avec moi car je débat
mon analyse de l'épisode 1
intérêt de l'épisode ; va t'il le faire oui ou non ?
la morale :
l'effet des statistiques et des sondages sur la politique.
ma morale sur l'épisode : Pour moi il ne fait pas cela pour sauver une vie mais à cause des sondages, malgré son dégoût et sa femme...
mon analyse de l'épisode 2
je connaissais pas la fille mais l'acteur black est époustouflant dans son monologue.
que dire de plus sur l'épisode :
le scénario nous donne une version dystopique (pour reprendre le terme trés bien adapté d'un commentaire) du futur éventuel de l'utilisation du virtuel.
apparemment plus personne ne travaille et on s'alimente par distributeur. certains doivent pédaler surement pour fournir l'énergie électrique. d'autre ramasse les détritus car un physique pas apte pour pédaler toute la journée. Et la seule issue pour se sortir de se marasme est d'être sélectionné à l'émission style star ac ou consors, et accepter de faire du porno d'être humilié ou pire encore de faire le contraire de ses convictions les plus profondes.
bref la réalité quotidienne : que suis je près à accepter pour continuer de payer mes crédits et l'argent n'es-il pas virtuel ?
une chanson qui me fait penser à l'épisode : j'me fais mal (etyl).
moment préféré de l'épisode : le monologue et lorsque dans les wc il dit bonne chance en faisant en geste de la main en va et viens et que le site coquin arrive.
mon avis sur la morale de l'épisode ; je suis d'accord que la majorité des gens acceptent de se prostituer (même si le mot est fort) pour avoir JUSTE une meilleure vie. même si à la fin de chaque épisode chacun se dit moi je n'aurais jamais accepté cela.