« Je connais le cerveau humain. » dit Matt, dans l'épisode final de Black Mirror.
(Avant que la série ne mute sur Netflix en autre chose de peu d'intérêt)
Ou comment les sciences cognitives et la psychologie sociale ont révélé à quelques uns les failles de la volonté humaine, la possibilité de manipuler le vulnérable « ça » du monde et la possible exploitation industrielle d’une soumission librement consentie.
Que devient la conscience lorsqu’elle ne dialogue plus qu’avec un surmoi sapé?
L’esclave de tout ce qui manipule les pulsions?
C’est fort dérangeant? Doit-on se le cacher?
Il semble pourtant ne plus y avoir de limites.
Voyons voir jusqu’où on ne peut pas aller?