Mensonges et vanité, ravage des métastases de l’âme. Scellées dans le sang et la mélancolie, les funestes métamorphoses d’un serial dealer.
Secrets et mensonges du parfait petit chimiste. Déprime, humour et noirceur, ingrédients d’une cuisine stupéfiante. Une première saison addictive. La saison 2 se joue entre cuisine et dépendances avec une grande intensité. Faux semblants et jeux dangereux pour un duo indéfectible. La saison 3 est teintée d’une irrémédiable noirceur. Entre crise existentielle et obsessions intimes, Walt et Jesse affrontent leur part d’ombre.
Une tyrannique loi du Cartel et saison 4 en enfer pour les stakhanovistes de la crystal meth. De White à Heisenberg, la déchirure du masque.
Dans les émotions de l'ultime ravage, apocalypse d’une ineffaçable saison 5. L’ombre du mal comme une tumeur, a rongé l’âme des hommes. L'art de terminer en beauté une série. Magnifique cette ultime épisode. Une page se ferme sur la dernière saison si forte en émotion. Nostalgie de quitter ses personnages, aussi attachants que monstrueux. Quelle réussite , depuis la manière de camper les personnages , les intrigues sans jamais perdre le fil de la narration, et le talent de la terminer avec brio jusqu’à l'ultime seconde.