Cœurs noirs : Quand les Forces Spéciales françaises deviennent la version badass des Minions

Qui aurait pensé que les Frenchies pouvaient être des Rambo?

Bienvenue dans "Cœurs noirs", la série qui prouve que les Français peuvent manier les flingues aussi bien que les baguettes. On dit au revoir aux stéréotypes du cinéma français où les militaires se battent avec des croissants, et bonjour aux Forces Spéciales qui ont décidé de jouer dans la cour des grands. Alors, accrochez-vous bien à vos bérets, parce que ça va mitrailler sec.

Casting plus costaud que la collection de poids d'haltères de Dwayne Johnson

On ne présente plus Thierry Godard, notre commandant préféré depuis Engrenages, et Nicolas Duvauchelle, qui a décidé de troquer ses rôles douteux pour une performance qui mérite un salut militaire. L'équipe est plus soudée que les Avengers en pleine crise existentielle, et ça se voit à l'écran. Les acteurs délivrent des performances tellement explosives que même Michael Bay pourrait en perdre sa clé pour déclencher des explosions.

Gunfights, explosions et bruits de raque imaginaires : la totale!

Les gunfights sont au rendez-vous, et on ne parle pas de règlements de comptes entre deux agents immobiliers. Certes, on est loin de la perfection d'un Lone Survivor, mais on ne va pas chipoter comme un fan de Star Wars qui découvre qu'il y a une erreur de continuité dans le fond d'une scène. Les bruits de raque d'armes imaginaires sont là pour nous rappeler que même les forces spéciales ont parfois besoin d'un peu d'effet sonore à la Hollywood.

Décors de l'Irak fictive : Plus vrai que la collection de poupées Barbie de ma petite sœur

Les décors de cette Irak fictive sont à couper le souffle. On se croirait presque en vacances, si ce n'était pas pour les explosions et les fusillades à chaque coin de rue. C'est tellement bien foutu que même Google Maps aurait du mal à faire la différence. Mention spéciale à l'équipe de production qui a dû se demander comment rendre une guerre aussi esthétique que le dernier filtre Instagram.

Épisode 4 : Quand la guerre se met à danser sur du Pierre Bachelet

L'épisode 4 nous offre une scène rythmée par Pierre Bachelet. Oui, vous avez bien lu, Pierre "Étienne, chanteur des années 80" Bachelet. Dans un moment de calme et de cohésion, les soldats décident de faire une pause musicale en plein milieu de la guerre contre le djihad. C'est comme si John Wick décidait de faire une chorégraphie avec son chien au beau milieu d'une fusillade. C'est surprenant, c'est décalé, c'est complètement "what the fuck", mais c'est génial.

La France envoie du lourd, et on en redemande!

En résumé, "Cœurs noirs" débarque comme une grenade dans le monde des séries françaises sur l'armée. Avec un casting solide, des gunfights qui font plaisir à nos rétines, des décors dignes d'un film hollywoodien, et une playlist qui mélange habilement le Pierre Bachelet et le bruit des rafales, la série mérite amplement son 4,5/5. On trépigne déjà d'impatience en attendant la saison 2, parce qu'après tout, qui aurait pensé qu'on finirait par kiffer les Frenchies en mode action badass?

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