Fullmetal Alchemist
7.6
Fullmetal Alchemist

Anime (mangas) Animax (2003)

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Petit disclaimer ; ma lecture du manga papier remontant à loin, très loin, du temps où j'étais jeune et beau (je ne suis plus que beau...), je me baserais dans cette critique surtout sur la version Brotherhood quand je parlerais de "l'oeuvre originale". C'est un vilain abus de langage, je le sais, mais comme d'une part, c'est un quasi c/c du manga, et que d'autre part, comparer des animés entre eux est toujours plus intéressant puisque les deux oeuvres "boxent" dans la même catégorie (animation, musique etc.), je me dis qu'on me le pardonnera (et puis sinon c'est pareil). Par ailleurs vu l'âge du bouzin, je considère que je peux me dispenser de balise "spoiler".

Bon, j'ai fait une critique sur la plupart des oeuvres/univers (Utopia, Spartacus, ASOIAF...) pour lesquels mon attachement est suffisamment grand pour accepter (à contre-coeur) le qualificatif de "fan".

Mais il en manque une. Une oeuvre fondatrice et matricielle, qui fait office de Maître-étalon dans mon logiciel interne d'appréciation émotionnelle et artistique d'une fiction. Une oeuvre potentiellement polémique et controversée : FMA version TV de 2005 (diffusion en France).

Pourquoi polémique? Parce que cette série d'une cinquantaine d'épisodes était diffusée parallèlement à la publication papier du Manga, comme cela arrive souvent avec les animé Japonais, créant mécaniquement un problème de tension entre l'animé qui avance trop vite par rapport au support papier d'où il est issu. Or au lieu de faire la méthode habituelle en ce type de situation, c'est à dire pondre des épisodes, voir des arcs entier, de fillers pour gagner du temps et faire du remplissage (dédicace aux souffrances des gens qui se sont tapés tous les fillers de Naruto ; on pense fort à vous^^), le studio Bones a opté pour le choix audacieux et potentiellement casse-gueule de s'affranchir complètement de l'oeuvre d'origine pour raconter sa propre histoire.

Et si l'initiative peut, sur le papier, légitimement inquiéter (RIP Game of Thrones), le résultat s'est avéré être surprenamment réussit. Et ça, je ne suis pas le seul à le dire ; la série est globalement regardée avec beaucoup de bienveillance par la plupart du public... Mais j'irais encore plus loin en affirmant que non seulement le résultat est bon, mais qu'il sublime carrément la version originale.

Et là, si je ne suis toujours pas seul, il y a de suite beaucoup beaucoup moins de monde. Car il s'agit d'un blasphème pour tous les Jean-Puristes qui vont asséner avec un aplomb Dogmatique leur mantra : "L'Oeuvre originelle est forcément mieux que l'adaptation".

Sauf que, si cela s'avère "vrai" (pour autant que la Vérité veuille dire quelque chose quand il est question d’appréciations subjectives sur des oeuvres artistiques) dans la grande majorité des cas, ça n'en fait pas pour autant une règle immuable et indépassable, d'autant qu'elle ne s'appuie sur aucun raisonnement d'inférence solide pour justifier sa position.

FMA V1 en tout cas a su, à mes yeux, faire mentir ce préjugé et offrir une oeuvre plus mature, plus profonde, plus chargée émotionnellement que son support d'origine. Cela en gardant en tête le fait évident que la série animé doit tout (son concept de base, son univers, la plupart de ses personnages, son cadre... en un mot ; son existence), au Mangaka d'origine, Madame Arakawa. Rendons à César ce qui lui appartient!

Je vais donc développer un comparatif, tentant d'expliquer en quoi je trouve l'animé de 2005 meilleur que l'histoire d'origine et donc que son adaptation "fidèle" Brotherhood. 

Un coup de vieux...

Commençons par le côté où ça pêche un peu ; FMA V1, en comparaison avec Brotherhood, est daté... La qualité de l'animation n'est clairement pas la même.

Autant dans Brotherhood, c'est d'une virtuosité de tous les instants, autant dans FMA V1, ça reste souvent assez statique et minimaliste.

Alors bon, ça reste dans le haut du panier de ce que peut produire la Jap'animation hein, mais on sent le poids des années.

Un Univers plus intimiste et une narration moins fun et moins explosive, mais tellement plus mature...

La version Brotherhood est plus fun, plus "riche" et plus généreuse en action. C'est un fait. Les affrontements dantesques sont légions, là où ils sont rarissimes et extrêmement courts dans FMA V1. L'Univers y est aussi d'avantage développé (avec Xin, Drachma...) là où le cadre de FMA V1 reste plus restreint et plus centré sur du développement de personnage, que sur de l'aventure/exploration.

Mais c'est justement à mes yeux ici que ce qui semble être une faiblesse devient une force ; là où Brotherhood se présente comme un Shonen Nekketsuesque tout ce qu'il y a de plus classique (très maitrisé certes, mais classique), avec de l'aventure/découverte dépaysante et de la grosse baston qui tache comme dans tous les représentants du genre, FMA V1 sait se démarquer, en faisant de l'action et plus spécifiquement de la baston, un élément totalement accessoire et finalement presque contingent de l'oeuvre.

Ici, il ne s'agit pas de flatter la propension "kikou-adulescent" du public qui veut sa dose de bourinitude classieuse (propension dont je suis le premier à être friand à l'occasion hein, c'est pas le problème), mais plus d'offrir une expérience sensorielle (la musique!! cette musique bordel de poulpe, du thème principal "Bratja" jusqu'au plus anodin des OST, tout y est sublime), émotionnelle et, osons le mot, "philosophique" (oui, oui, j'assume).

Oui, ici, le combat, nerf de la guerre du genre Nekketsuesque (Nekketsu="Sang brulant" en Japonais) est anecdotique, à tel point que l'on pourrait considérer que FMA V1 n'est pas un Nekketsu.

On pourra d'ailleurs illustrer cette différence majeure entre l'approche de Brotherhood et l'approche FMA V1 à partir de la scène de la rencontre entre Hawkeye et Pride dans Brotherhood : Hawkeye, se rendant compte qu'elle a affaire à un Homonculus déclare :

"Tu es un Homonculus... Comme Gloutony?... Nan... Je sens en toi une puissance bien supérieure à celle de Glotony!!..."

Le genre de déclaration pourra sembler complètement banale et anodine à n'importe quel consommateur de Shonen/Nekketsu. On en trouve à tous les coins de rue. Seulement une telle réplique n'aurait jamais, au grand jamais! pû avoir sa place dans la version FMA V1. Tout simplement parce qu'elle n'y aurait eu aucun sens : Hawkeye n'est pas un Shonobi de Konoha, un Saiyen de l'espace, un Shinigami de la Soul Society... Hawkeye est une Humaine ; elle n'a pas à "sentir" le "Ki" ou quoi qu'est-ce qui émanerait d'un Homonculus ; d'abords elle ne pourrait pas plus le faire que toi ou moi, ensuite il n'émanerait rien de particulier à sentir d'un Homonculus, aucun Ki, aucune énergie vitale ésotérique. Parce qu'il n'y a pas de "magie" dans FMA V1. Tout est censé être scientifique et rationnel. Une science et une rationalité quelque peut différente de la notre il est vrai (Alchimie oblige). Mais jamais "magique" (bon, pour être honnête, il y a le cas d'Al, armure qui voit, parle et entend, sans organes dédiés, mais bon, on va dire que c'est un cas incompressible).

Autre exemple : le pouvoir de Pride dans Brotherhood. Dans Brotherhood, Pride a le pouvoir de contrôler les ombres et de tuer ses adversaires grace à elle. Comme Shikamaru en somme. Mais là où l'aspect "magique" de ce pouvoir passe très bien dans Naruto au vue de l'Univers concerné, il devient soudainement décalé et peu crédible dans l'Univers de FullMétal, parce que une ombre c'est quoi? C'est une zone sombre créée par un corps opaque qui bloque les rayons de lumière. Ce n'est pas un objet physique qu'on pourrait contrôler, manipuler. Ça n'a pas d'existence "positive".

Les pouvoirs dans FMA V1 ne rentre jamais dans l'invraisemblance et même s'ils tirent parfois un peu sur la corde, ne sortent jamais de la logique de base instaurée par le concept même d'Alchimie de contrôle et de transformation de la matière.

C'est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup.

C'est le signe d'une oeuvre qui ne cherche pas à cocher les cases d'un genre sur-codifié, mais qui cherche à instauré sa propre logique et à s'y tenir.

A ce titre, FMA V1 n'est plus selon moi un Nekketsu, c'est un conte initiatique.

Notez à quel point cela fait sens, dans un genre où le but et de modeler, transformer, purifier le voyageur pour le faire grandir. "Le récit initiatique peut également être mis en relation avec l'alchimie, qui met en scène la transformation de soi à travers la parabole de la purification des métaux." (source Wiki "Récit initiatique")

Tout se tient, "tout est un". C'est ce qu'est FMA V1 ; un petit chef d'oeuvre d'orfèvrerie qui boucle à l'infini sur lui même tel un cercle d'Ouroboros.

Une sorte de voyage d'apprentissage, marqué de façon fine et subtile, par tous les sentiments et toutes les leçons majeurs de l'existence : l'amour, la peine, le rire, l'émerveillement, la colère, la haine, le pardon, la mélancolie, la mort, la vie, la quête d'identité, le rapport à l'altérité, l'égo, la guerre, le deuil, la transcendance, le sacrifice... Absolument tout passe à la moulinette de cet épopée Dantesque (sic) sans jamais ou presque que cela paraisse forcé, téléphoné, ou lourdingue.

Des leçons qui sont parfois d'une justesse particulièrement touchante. C'est le cas de l'acceptation de la mort (la scène du chat et le discours du Sensei Izumi mis en parallèle avec son vécu et celui des frères Elric).

C'est le cas de la question du rapport aux rêves et à l'idéal.

C'est le cas du rapport à l'endoctrinement, à la Religion et à la science.

C'est le cas du questionnement de notre responsabilité par rapport à la guerre dans la confrontation entre Ed et Mustang.

C'est surtout le cas dans la question du racisme et du rapport à l'altérité ; j'ai rarement vu une oeuvre jeune public, illustrer avec autant de justesse la question de l'altérité et donner de manière aussi intelligente une leçon de tolérance sans se draper de naïveté et de condescendance. C'est dans l'épisode 36 ; Ed discute avec deux jeunes garçons originaires d'Ishbal (peuple métisse aux yeux rouges, persécutés et parqués dans des réserves).

L'un des garçons penses que Ed veut tuer Scar, un Ishbal. Ed répond que tel n'est pas son intention.

- Foutaise! Vous avez tous la haine contre nous!... Réplique le jeune Ishbal.

Ed exibe alors sa "Mécha-greffe" (bras robotique) et demande :

- Ca te fait peur?...

- Peuh, pour qui tu nous prends? Répond le gamin, pas trop rassuré.

- Eh bien moi, j'dois l'avouer, tes yeux rouges, ils me foutent un peu les jetons. La première fois que j'ai croisé Scar, j'ai failli faire dans mon froc. C'était la première fois que je croisais un Ishbal... Seulement voilà, c'était qu'une première impression ; le but du jeu, c'est de ne pas en rester là, d'aller voir plus loin... C'est comme ce que nous ont raconté nos parents ; faut pas toujours s'y fier, y a pas que du vrai. C'est pour ça que Al et moi, on trace notre route pour tenter de trouver nos propres réponses...

Evidemment, cela fonctionne bien mieux avec le contexte de l'épisode et tout ce que la Série a construit autour de ces personnages que simplement grossièrement retranscrit ici, mais le message est courageux et pertinent : accepter le fait qu'on ai naturellement une part innée de crainte face à l'altérité, face à ce que l'on pourrait appeler "l'Autre". Et qu'il ne s'agit ni de se complaire dedans, ni de s'en culpabiliser, mais simplement d'aller chercher plus loin, de s'élever au dessus de ses instincts primaires. Faire comprendre également qu'il est important de remettre en cause nos a priori en remettant si besoin est, le socle même de nos constructions mentales, à savoir l'enseignement de nos géniteurs. C'est une leçon toute simple mais Ô combien salutaire et rare.

On pourra également penser à la question du pardon, via la situation de Winry et de Mustang, ce qui nous conduit aux modifications de personnages entre les deux versions...

Une idée toute simple... pour un changement génial...

En effet, entre les deux versions, il y a eu un certain nombre de modifications dans les personnages eux même ; leur parcours, leur identité, leur nom, leur origine...

Et si certains changements sont à l'avantage de Brotherhood, comme les personnages de Olivia Armstrong (géniale haut gradée de l'armée, tristement absente de la V1), de Wrath/Bradley (qui est bien plus badass et marquant dans la version Brotherhood que son alter égo Pride/Bradley de la V1 faut l'avouer)... et bien pour le reste, les changements sont tous à l'avantage de FMA V1.

Comme je l'évoquais plus haut, la série a fait un changement important sur la mort des parents de Winry. Au lieu de les mettre sur le dos de Scar, ce qui est assez gratuit et facile (Scar c'est un peu le coupable idéal qui avait déjà suffisamment de passif avec nos héros (Ninalexander)), ils l'ont mis sur celui de Mustang, ce qui complexifie grandement le rapport des héros avec lui et ce qui lui donne un poids de culpabilité symbolique plus palpable.

Des personnages comme Tucker sont aussi bien plus développés.

On se débarrasse de perso un peu caricaturaux, unidimensionnels et, pour sympathiques qu'ils soient, pas franchement indispensables, comme les gens de Xin (Ling, il est bien sympa et plutôt rigolo, je dis pas, mais le coup du type qui souhaite hériter du royaume de son père en lui offrant l'immortalité, ça ressemble quand même beaucoup à une mauvaise blague je regrette).

Même sur le cas de Kimbly, où à première vue, on pourrait penser la version originale largement meilleure que celle de V1 qui semble un peu caricaturale, on se rend compte que c'est plus subtil que ça, vu que d'une part, le personnage de type Kimbly Brothehood trouve son avatar dans la personne de Franck Archer, dont l'archétype, le caractère et l'ambition correspondent assez. D'autre part, le Kimbly V1 peut paraitre un peu grossier de prime abord, mais représente finalement une forme de radicalité idéologique ; un nihilisme total, où le monde n'étant qu'un amas de matière, les notions d'éthiques et dignité humaine seraient des non-sens complet et où seul la jouissance personnelle (que lui procure ses explosions) pourrait donner du sens.

On peut aussi mentionner d'autres petites innovations sympa, comme le fait de faire de Al la pierre, ce qui permet de créer de nouveaux enjeux intéressants.

En parlant d'elle, on voit que la fameuse Pierre est bien moins banalisée dans FMA V1 et donc garde son aura mystique, là où dans Brotherhood, on fini par en trouver à tous les coins de rue...

Le fait d'avoir le paternel qui a une position morale extrêmement plus ambigüe n'est pas pour me déplaire.

Même chose pour la question du viol (coucou Rose)...

Même chose pour le sacrifice et la rédemption de Scar...

Même chose pour la fin douce-amer au lieu du Happy-end total...

Mais au dela de tous ces petits détails, le véritable coup de génie de la V1 sur la version Brotherhood, c'est l'idée de faire des Homonculus les fruits de transmutations humaines "râtées" (?). Par ce simple changement de paradigme, on opère un basculement thématique et émotionnel absolument gigantesque.

On passe d'un groupe de méchant très bateau, simplement extraits de la cuisse de Jupiter (presque littéralement!) et dont la seule fonction est de servir leur maitre, à un groupe qui apporte une véritable réflexion sur l'identité, sur l'Humanité, sur la valeur des souvenirs face à celle des actes (dans l'épisode où Lust se rallie à Ed contre Sloth, on est presque dans une opposition dialectique entre les visions d'un Lock et d'un Hume sur la nature du Moi et je n'exagère que raisonnablement ici!).

Sans parler de la plus-value émotionnelle qui est gagné par ce tour de force : je mets au défi quiconque de venir me soutenir sans trembler des chevilles que l'impact émotionnel du combat contre un Sloth, gros monstre débile et froid de Brotherhood, lui semble plus grand et plus intense que celui de la confrontation contre une Sloth de V1 quand Ed comprend que celle ci a non seulement le corps, mais aussi les souvenir de sa mère!

Cet impact émotionnel et ce questionnement quasi métaphysique se retrouve chez la plupart des Homonculus par la seule magie de ce changement d'origine : chez Sloth bien sûr, mais aussi chez Wrath, chez Greed, chez Envy (tellement au dessus de la version tête à claque de Brotherhood!!), et bien sûr chez ma chouchou : Lust, donc la silhouette tragique et emprunte de mélancolie traverse cette aventure comme une splendide étoile filante. Il n'y a guère que chez Gloutony et Pride que cet aspect n'est pas exploité (ce qui est un mal pour un bien, vu que ça évite le risque de redondance un peu lourde).

Bref, on a un groupe d'antagoniste qui ne sont pas que des personnages fonctions, mais de vrais personnalités avec un relief, une quête, une psychée... Qui au delà de la qualité des autres personnages (Hugues, frères Elrick, Izumi, Mustang etc.) fait le véritable sel de cet Série.

Et ce même si...

La perfection n'est pas de ce monde....

Comme le rappelle si bien la Série elle même. Et à ce titre, oui, on peut bien pinailler sur un ou deux détails...

Dans le début de l'histoire, certains épisodes font franchement filer et sont complètement dispensables, voir à la limite de la gênance (voyage à Venise, mines de Magloir, Madjal...)

Sur la fin, les vas et viens intempestifs entre les 2 mondes peuvent donner une sensation de répétition et de boucle quasi comique (comme disait si bien Hyoga dans les CDZ Abrégé : "je voulais brûler mon Cosmos pour le ramener à la vie, mais j'ai peur de rentrer dans un cercle vicieux").

Le changement d'attitude entre Dante d'avant et Dante d'après est un peu trop gros (je veux bien entendre l'idée de l'influence du corps sur l'esprit, mais quand même)...

Le fait que Scar trimballe sur des centaines de mètres le corps de Kimbly et le balance du haut d'un toit le tout sans avoir de bras peut sembler très WTF si on branche deux secondes son cerveau...

Mais...

Dans l'ensemble, cette Série aura réalisé un véritable tour de force : celui de prendre une pépite d'or pour la changer en diamant brute ; et ça, c'est de l'Alchimie comme on en fait plus!

Broutchlague
10
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le 12 déc. 2022

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