Wokisme, quand tu pourris a SF. La série «Halo», tirée du jeu éponyme.
Le bon:
Les effets visuels, les costumes, les décors. La photographie est très bonne mais on regrette que Neil Blomkamp, qui avait réalisé un court-métrage de 6 min, n'ai pas été retenu pour réaliser cette série. Elle aurait été mémorable, car viscérale, cradingue, réaliste. A voir ici: https://youtu.be/6yp5jN6kRO0?si=CPE-8Ue_hELy3tOD
Le mauvais:
Toujours pareil. Cette satanée idéologie woke qui pollue tout ce qui sort de l'anus d'Hollywood.
Diversité oblige: toutes les ethnies pullulent. Ok, si tu veux.
Egalité oblige: dans la saison 2, il y a carrément plus de femmes-soldats en action que d'hommes. Elles arborent tout l'attirail du "Master Chief". Les fusils qui, s'ils étaient réels pèseraient 20 kilos, l'armure énorme qui même sur un homme parait peser une tonne. Elles sont aux postes de commandement et le seul homme se fait recadrer par les femmes. Comme dans l'immonde trilogie Star Wars d'après George Lucas, trahi par la monstresse Kathleen Kennedy ("The Force is female", patate, depuis quand la Force a un genre?).
Mais on dit "égalité", juste? Ici les femmes sont majoritaires, parfois elle prennent le premier rang devant le héros, Master Chief, joué par le très mauvais Pablo Schreiber (c'est de famille, son frère Liev n'est pas mieux). Où est l'égalité?
Ceci est une Nième destruction "culturelle" (nous ne sommes pas chez Bach, Tosltoï ou Jacques Prévert, on est d'accord) sur l'autel du woke. Satan finira par être vaincu, car il ne peut en être autrement, mais avant ça nous aurons encore pas mal de déchêts comme ça.
La bonne nouvelle est que ce seront des histoires qui pourront être revisitées quand tout ce merdier cessera. Espoir.