Déjà adapté au cinéma en 2000 par Stephen Frears, High Fidelity, l’excellent roman de Nick Hornby publié en 1995 au Royaume-Uni et deux ans plus tard chez nous, se voit transposé vingt ans plus tard sur le petit écran dans une version revisitée, le personnage principal devenant une femme. Et cette série, portée par Zoë Kravitz, s’avère aussi bonne que le roman et le film avec ses références musicales à la pelle et le brisage quasi-permanent du quatrième mur.
Critique complète : http://litteratureetculture.com/high-fidelity-saison-1-decryptage.html